La mobilité partagée est un système développé depuis des décennies pour répondre aux préoccupations écologiques et contribuer au développement durable et à l’économie collaborative. L’autopartage est l’un des moyens adoptés pour y parvenir. Développé à la fin des années 90, cette pratique ne cesse actuellement de gagner du terrain.

Le principe de l’autopartage

Au coeur d’une proposition de loi en 2006, et proposé lors des Grenelles de  l’environnement I et II,  l’autopartage est défini juridiquement comme étant « la mise en commun au profit d’utilisateurs abonnés d’une flotte de véhicules de transports terrestres à moteur. Chaque abonné peut accéder à un véhicule sans conducteur pour le trajet de son choix et pour une durée limitée. »

Concrètement, il y a trois acteurs dans ce système :

  • l’exploitant ou l’opérateur qui gère le service : il peut s’agir d’une société, une association, un groupe de personnes, une agence publique ou une coopérative ;
  • le particulier usager qui loue le véhicule et l’utilise pour une durée limitée ;
  • le particulier propriétaire qui met en location son véhicule et le met à la disposition de l’usager et/ou de l’exploitant.

Ainsi, une personne ayant besoin d’une voiture s’inscrit sur une plateforme d’exploitant, loue un véhicule et ne l’utilise qu’en fonction de ses besoins. 

Les différentes options d’autopartage

On peut classifier les différents types d’autopartage selon les structures qui proposent le service et selon la nature même de celui-ci.

En ce qui concerne les structures, on peut parler des services d’autopartage proposés par des réseaux coopératifs d’opérateurs. Ces derniers s’associent pour acheter des véhicules neufs et les mettent à la disposition des utilisateurs. Il y a également des exploitants, généralement des sociétés commerciales, qui réunissent dans une plateforme, des particuliers propriétaires de véhicules et des particuliers utilisateurs de véhicules. Enfin, dans la sphère privée, il y a l’autoportage entre particuliers, sans passer par des opérateurs.

Quant à la nature du service proposé, on peut citer d’abord  l’autopartage en boucle. Dans cette option, le véhicule est disponible dans une station fixe et doit être retourné dans cette même station. La location en libre service ou autoportage flottant est, de son coté, plus flexible et moins contraignant : les véhicules sont disponibles à tout moment et on n’a pas besoin de les rendre à leur point de départ.

Comment ça marche ?

Comme vous pouvez le voir sur ce site de location à Montpellier montpellier.rent , le fonctionnement de la location de voiture est simple. Si vous voulez bénéficier du service, vous devez vous inscrire sur une plateforme d’autopartage et vous y abonner. Une fois que vous êtes abonné, vous pouvez en profiter. Selon la société choisie et la nature du service proposée, vous devez ou non faire des réservations en précisant le véhicule que vous souhaitez, la durée de l’utilisation ainsi que le lieu où vous voulez le récupérez.

Vous pouvez avoir accès au véhicule, dans les stations fixes ou les parkings dédiés, de manière automatique : soit par une carte ou un badge magnétique ou une armoire à clé, soit par le biais de votre smartphone.

Avant d’utiliser la voiture, vérifiez son état, et au moment de la rendre, informez la société d’autopartage  si besoin, des problèmes éventuels rencontrés lors du trajet.

A la fin du mois, vous allez recevoir une facture qui détaillera ce que vous devez payer.